Sortie à la ferme du 13 mars 2016

grâce à tous les participants, la nouvelle serre qui doit accueillir les tomates en avril  est couverte entièrement : le vent nous aidé et parfois fait de belles montgolfières !
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ce fut une très belle journée : on a même pu manger dehors
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le moment fatidique de la fin des réserves de légume est arrivé : lundi 14 mars, vous aurez ds les paniers les dernières pdt, poireaux, choux : la cave est vide, on a même profité de la pluie de mercredi pour la nettoyer à fond.
il n’y aura donc pas de distribution le 21 mars, je pense peut-être pouvoir faire une distribution avec la dernière repousse des épinards et diverses verdures le lendemain du lundi de Pâques,  ( 29 mars ) ..à confirmer selon la météo d’ici là
le 4 avril, ça sera le jour de l’ag de votre amap : vous allez bientôt recevoir la convocation
d’ailleurs, si vous avez des points à mettre à l’ordre du jour, c’est possible
Sophie

Le carotte cake de Maud !

quand les carottes du panier sont un peu ramollo et pâlottes, il vaut mieux les cuire, et rien de tel que de les sublimer dans un gâteau moelleux et parfumé à souhait

je fais un carrot cake sans le glaçage, parce que je suis pas trop crème et je soupçonne le glaçage de ne servir qu’à masquer la surface du cake un peu maronnasse et rugueuse et du coup peu appétissante, mais nous qui sommes habitués aux légumes dans leur plus simple appareil, on ne s’arrête pas à l’apparence!
200 g de carottes (environ 4 ou 5) râpées en julienne
100g de sucre (roux c’est mieux), de raisins secs (blonds c’est mieux)
110g de farine (j’ai fait moitié farine, moitié semoule fine de blé)
3 cuiller à soupe d’une huile neutre (tournesol ou pépin de raisins)
60g de noisettes concassées
2 oeufs
1 cuiller à café de levure (ou bicarbonate), pareil en cannelle
et puis un peu de muscade et de clous de girofle réduits en poudre
on mélange la pâte mouillé puis sec, et ensuite on ajoute raisins et carottes
et on fait cuire à 180 pendant 20 minutes environ (il faut faire le test du couteau)
TROP BON!Carrot cake

Sortie à la ferme

Oyez ! Oyez ! Une sortie à la ferme est prévue dimanche 13 mars, notez la date dans vos agendas !

Voici quelques nouvelles de la ferme de la part de Sophie :

– les travaux : cette année est venu le moment de changer les plastiques des plus vieilles serres : ça fait deux ans que j’anticipe ce moment : à quel moment faire ça sans réduire considérablement les récoltes sous serre ???
donc, cet hiver était choisi avec le montage de la plus grande serre neuve ( acheté en même temps que le tracteur)
il reste le plastique de cette belle serre de 9,30m à poser au soleil lors d’un dimanche amap sans doute le 13 mars
on a fini par démonter la serre vers les framboisiers : on a tout essayé pour extirper les plastiques des cotés car l’intention est de profiter du changement de bache pour remonter une serre d’occasion un peu plus large, donc plus facile à travailler aux bords et avec une bonne irrigation et plus de masse d’air pour pouvoir mettre aussi des tomates ( rotations oblige)
on a fini couverts de boue, avec la charrue qui fait un carnage, (photos en pj)
c’est fait d’un côté et les lianes et les arbres qui poussaient sur le bord ont été bien calmés
pour autant, moi qui avait prévu de planter dans cette nouvelle serre les choux de printemps dans quelques jours, mon plan est changé et j’espère accélérer le chantier pour mettre les courgettes en avril, mais rien n’est moins sur !!!

-le 24 février, nous allons faire un atelier soudure pour adapter des triangles d’attelage sur mes outils : celà permettra de fixer un outil derrière le tracteur sans en descendre 5 fois pour s’ajuster pile poil , ce qui gagne un temps et une fatigue considérable ( pour les curieux de machines vous pouvez aller voir les ateliers paysans sur le net)
nous sommes très heureux de faire ça

Le vent du 8 février a fait qlqs dégats sur la ferme… Les bâches posées au sol pour occultation étaient toutes à remettre en place (une bonne matinée )
Des portes de serres déchirées et un pan de serre totalement arraché ! Nous avons réussi à limiter l’effet de chaine en mettant une sangle sur les baches suivantes.( les photos suivent)
Heureusement, le vent a fini par tomber mais ces tracas climatiques nous rappellent bien que nous ne sommes pas les plus forts et qu’il est urgent de faire attention à notre environnement !!

-les réserves de légumes : il n’y aura sans doute pas assez de légumes pour assurer toutes les distributions jusqu’à fin mars : peu de betteraves rouges et trop grosses, pas de radis noirs ( ça compense l’an passé), peu de courges qui se gardent mal, des patates moches, des céleris minuscules (pourtant , on en a repiqué 2000, si si ! et les sangliers qui se sont régalés de panais, la mâche grossie et récoltée trop tôt…

mais quand même, plein de carottes, de poireau, et de choucroute, c’était le challenge de cette année ! ouf

et le quotidien : les semis de choux pointus, oignons blancs, fèves, carotte sont bien là pour le mois de mai et on va bientôt semer poireaux, tomates, aubergines…..enfin beaucoup de légumes d’ici mi mars
le 13 mars, nous vous attendons pour voir tout ça à la première sortie à la ferme
bon we
sophie

La salade de Delphine

– Mâche du panier

– Betterave du panier (pelée et coupée en lamelles, servie crue)
– Quinoa rouge
– Noix de cajou (grillées 1 min à la poêle)
– Airelles
– Huile d’olive et vinaigre balsamique
– Et bien sûr des tranches du pain noisettes & raisins grillées

5 min à préparer (+ 10-15 min de cuisson du quinoa). 100% végétal & avec protéines 🙂

Bon appétit !

 

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Bonne année beau panier 2016 !

Les légumes du 1er panier de l’année vous souhaitent une belle année, une année de la patate qui donne la frite, de la carotte pour une année bonne mine, du poireau qui rend beau, de la mâche pour une année pétillante, de la betterave si suave, du chou pas bête du tout et des échalotes pour une année rigolote !

 Panier du 4 janvier 2016


 

Le panier du 16 novembre

Le demi panier de la semaine :

chou-fleur, courge, épinard, tomates, betterave, oignons, pommes de terre, courge….et l’invité mystère le daikon…Ce radis blanc ou « navet long » a un goût très doux. Frais et croquant, diurétique, il est réputé faciliter la digestion et éliminer les graisses du corps. D’origine japonaise, aussi appelé navet blanc d’Italie, il se mange cru ou cuit.

Bon appétit !Panier novembre

 

Agenda mobilisation citoyenne 2015 TOUS DANS LE MÊME PANIER ! POUR UNE AGRICULTURE CITOYENNE EN IDF.

Afin de mettre au débat les enjeux d’une agriculture écologiquement, socialement et économiquement vertueuse à l’occasion de la COP21, le Réseau AMAP Île-de-France, en collaboration avec l’association SOLIDARITÉ, organise
le lundi 9 novembre 2015 à 19H30
Salle Olympes de Gouges (Paris 11e)

UN GRAND ECHANGE AVEC
VANDANA SHIVA ET AURELIE TROUVE
Avec une paysanne et une consom’actrice en partenariat AMAP depuis 10 ans, nous débattrons du rôle des citoyen-ne-s pour une transition agricole.
L’échange sera animé par Jade Lindgaard (Journaliste à Médiapart).

Pour une « mise en bouche », nous vous accueillerons dès 18h autour d’un buffet « saveurs du monde ».
Vous aurez l’occasion de pérégriner dans un « micro-village des alternatives » où vous pourrez découvrir comment créer une AMAP ou devenir paysan-ne en AMAP, mais aussi comment concrètement engager plus largement la transition avec nos partenaires de la Coalition 21 et du Collectif de la Transition Citoyenne.
Changeons le système et l’agriculture pour le climat !
ENTREE LIBRE ET OUVERTE A TOUS !
Réservation obligatoire: https://www.eventbrite.fr/e/billets-le-role-des-citoyennes-dans-la-transition-agricole-18838069172

 

Le panier du lundi 19 octobre !

imageEt voici le demi panier de ce lundi !

 

Au au programme céleri branche, navets, ail, pommes de terre, épinard radis noir,salades…miam-miam !

Des questions sur l’amap ?? N’hésitez pas à nous contacter par e-mail

amap.volontaires@gmail.com pour plus d’info !

A tres bientôt….

Les inscriptions sont presque terminées…il reste encore quelques paniers de disponibles !!

Aussi, si vous voulez passer du statut intermittent au statut de privilégié, si vous avez des amis verts de jalousie devant vos choux et vos courgettes, des voisins tentés par l’aventure amapienne…Parlez-en autour de vous !!
Il reste aussi des places pour les fruits de Gaillard (Pommes, poires délicieuses pou un hiver pleins de pectines !) alors n’hésitez plus !
Pour rappel un panier entier coûte 18€ et un demi panier 9€.
Les distributions sont tous les lundis soir, d’octobre à septembre !!
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Avez-vous lu la charte ?

 Avez-vous lu la charte ?

Pour comprendre ce qu’est une AMAP avant d’adhérer, le mieux est de lire la charte !

  • Fruit d’une réflexion participative inter-régionale, elle a été adoptée à l’unanimité lors de l’Assemblée Générale du MIRAMAP (Mouvement inter-régional des AMAP) les 15&16 mars 2014.

    Téléchargez la version PDF en ligne sur le site du MIRAMAP, en cliquant : ici.

    En texte intégral :

    Charte des AMAP (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne)

    Préambule

    Les AMAP1, ou Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne, sont nées, en 2001 en France, d’une prise de conscience citoyenne face à la situation de crise importante dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation.

    Insécurité et gaspillage alimentaires, impératifs écologiques, déperdition des agricultures paysannes au profit d’agricultures productivistes, forte pression foncière sur les terres agricoles, hégémonie de la grande distribution et inégalité alimentaire ici et ailleurs : autant d’enjeux qui ont mobilisé des citoyen-ne-s pour construire et expérimenter un autre modèle agricole, économique et alimentaire, inspiré de la charte de l’Agriculture Paysanne et des mouvements de l’agriculture biologique.

    Résolument basées sur une conception de partage, les AMAP visent à une transformation sociale et écologique de l’agriculture et de notre rapport à l’alimentation en générant de nouvelles solidarités. Elles sont des alternatives concrètes qui émergent de la société civile.

    Elles ont pour objectifs :
    – de maintenir et de développer une agriculture locale, économiquement viable, socialement équitable et écologiquement soutenable, à faible impact environnemental, créatrice d’activité économique et d’emploi, de lien social et de dynamique territoriale,
    – de promouvoir un rapport responsable et citoyen à l’alimentation,
    – de faire vivre une économie sociale et solidaire, équitable et de proximité,
    – de contribuer à une souveraineté alimentaire favorisant celle des paysan-ne-s du monde dans un esprit de solidarité.

    Concernant les terminologies :
    → est appelé « AMAP », le collectif formé de l’ensemble des amapien-ne-s et paysan-ne-s engagé-e-s dans un partenariat solidaire, local, contractualisé, sans intermédiaire commercial, avec un esprit de pérennité.
    → est appelé « amapien-ne », une personne physique bénévole signataire d’un ou plusieurs contrats d’AMAP en cours de validité avec un ou des paysan-ne-s. Le groupe d’amapien-ne-s, dans une démarche non lucrative, se constitue en association (déclarée ou pas).
    → est appelé « paysan-ne en AMAP », un-e paysan-ne signataire de plusieurs contrats d’AMAP en cours de validité avec des amapien-ne-s.

    Au sein d’une AMAP, amapien-ne-s et paysan-ne-s construisent ensemble un autre rapport à l’agriculture et à l’alimentation ; en ce sens ils sont coproducteurs.
    Ils s’engagent mutuellement à respecter les principes de la charte des AMAP.

    La présente charte est le document fondateur et fédérateur de toutes les AMAP en France. Elle remplace la première charte élaborée en mai 2003. Elle n’a pas pour objet de servir de règlement intérieur aux AMAP. Il incombe à chacune d’entre elles de définir de façon autonome son mode de fonctionnement, dans le respect des principes de cette charte.

    Amapien-ne-s et paysan-ne-s en AMAP respectent et font vivre 5 principes fondamentaux

    Principe 1 – Une démarche d’agriculture paysanne

    Une AMAP inscrit sa démarche de coproduction dans le respect des principes de l’agriculture paysanne locale.

    En particulier, elle :

    • soutient le maintien, la pérennisation et l’installation,
    • favorise l’autonomie dans le fonctionnement des fermes,
    • s’inscrit dans une dynamique de territoire et de solidarité,
    • accompagne la viabilité économique des fermes partenaires,
    • est attentive aux conditions sociales de l’activité agricole.

    Principe 2 – Une pratique agro-écologique

    Une AMAP soutient une agriculture respectueuse des hommes, de l’environnement et de l’animal, en référence aux fondamentaux de l’agriculture biologique.
    En particulier, elle s’engage dans une activité agricole :

    • durable, diversifiée et adaptée au territoire, en rupture avec l’agro-chimie (sans engrais ni pesticides chimiques de synthèse,…) et toute entreprise d’appropriation mercantile du vivant (sans OGM, …),
    • favorisant la biodiversité végétale et animale,
    • contribuant au maintien et au développement des semences paysannes.

    Principe 3 – Une alimentation de qualité et accessible

    Une AMAP coproduit une alimentation de bonne qualité gustative, sanitaire et environnementale.
    Elle cherche à rendre cohérent son soutien à l’agriculture avec la dynamique d’un territoire et les besoins d’une population.
    C’est pourquoi chaque AMAP cherche à élargir l’accessibilité d’une telle alimentation à toutes et à tous.

    Principe 4 – Une participation active dans une démarche d’éducation populaire

    Une AMAP vise à créer les conditions de la participation et de l’appropriation citoyenne des enjeux agricoles et alimentaires, notamment par le débat, les apprentissages et le partage des savoirs.

    Elle :

    • s’organise sur la base d’une implication de l’ensemble de ses membres,
    • veille à sa pérennisation et à la circulation de l’information,
    • cherche à créer une relation de qualité entre paysan-ne-s et amapien-ne-s dans un cadre convivial favorisant le dialogue, le lien social, la confiance, et la coresponsabilité.

    Principe 5 – Une relation solidaire contractualisée sans intermédiaire

    Amapien-ne-s et paysan-ne-s en AMAP s’engagent mutuellement sans intermédiaire à partager la production pour une période donnée, par le biais de contrats solidaires (la durée de la période de contrat est liée aux cycles de l’activité de la ferme et dépend de chaque famille d’aliments contractualisée).

    Ce partenariat favorise la transparence entre amapien-ne-s et paysan-ne-s.

    Pour chaque famille d’aliments, le contrat :

    • stipule les engagements réciproques des deux parties tels que définis dans la charte,
    • établit un prix juste et rémunérateur prenant en compte la viabilité économique de la ferme et les conditions sociales de celles et ceux qui y travaillent.
    Trois engagements traduisent ces principes

    Un engagement économique

    • Pour les paysan-ne-s en AMAP :
      – livrer à périodicité préétablie des aliments de saison, frais ou transformés, diversifiés et issus de leur ferme. Les produits transformés feront l’objet de mentions spécifiques (processus de fabrication transparent et tracé, …) incluses dans le contrat,
      – mettre en oeuvre les moyens nécessaires visant à assurer la livraison régulière des parts de production définies par contrat,
      – déterminer en toute transparence avec les amapien-ne-s un prix forfaitaire stable, garanti et équitable sur la durée du contrat.

    Une solidarité entre paysan-ne-s peut permettre l’échange occasionnel d’aliments de même nature en toute transparence et avec l’accord explicite des amapien-ne-s.

    • Pour les amapien-ne-s :
      – contractualiser et prépayer la production sur la période du contrat à un prix équitable, en s’interdisant l’échange marchand sur les lieux de livraison,
      – prendre en compte équitablement avec les paysan-ne-s les fluctuations et aléas inhérents à leur activité.

    Un engagement éthique

    • Pour les paysan-ne-s en AMAP :
      – mener leur activité et la faire évoluer dans le respect des principes de la charte des AMAP, en coopération avec les amapien-ne-s,
      – être transparent-e-s sur les pratiques de culture, d’élevage et de transformation.
    • Pour les amapien-ne-s :
      – assurer la pérennisation de l’AMAP,
      – faire évoluer leurs pratiques dans le respect des principes de la charte.

    Un engagement social

    • Pour les paysan-ne-s en AMAP :
      – être présent-e-s sur le lieu de livraison (ou occasionnellement représenté-e-s),
      – créer et entretenir des liens avec les amapien-ne-s,
      – sensibiliser les amapien-ne-s à leur métier et à la vie de la ferme,
      – participer à l’organisation de visites de ferme et d’ateliers pédagogiques,
      – s’impliquer dans la vie du mouvement des AMAP et de ses partenaires.
    • Pour les amapien-ne-s :
      – s’impliquer dans la vie de l’AMAP (livraison, communication, animation, relation paysan-ne-s, continuité des partenariats, réseau,…),
      – respecter les modes de fonctionnement de l’AMAP,
      – participer aux visites de ferme et à leur organisation,
      – participer à des activités pédagogiques et de soutien aux paysan-ne-s,
      – être partie prenante de la vie du mouvement des AMAP et de ses partenaires.
    Un mouvement vivant en évolution constante

    Une amélioration continue des pratiques

    Pour faire vivre les principes et engagements de la charte des AMAP, celle-ci doit être accompagnée d’actions visant à analyser et faire progresser collectivement les pratiques.

    En ce sens, l’évaluation participative permet une démarche d’évolution partagée entre amapien-ne-s et paysan-ne-s en AMAP. Pour la réaliser, les AMAP définissent les moyens à mettre en oeuvre avec l’appui des réseaux et associations partenaires.

    Une dynamique de territoire et de réseau

    Par ailleurs, parce que l’AMAP est plus qu’un « panier », elle s’inscrit dans une dynamique de territoire et contribue à créer une économie de proximité, solidaire et équitable.

    Elle s’implique dans la vie du mouvement des AMAP pour la pérennisation, l’essaimage et la visibilité des AMAP ; elle participe ainsi à la création de nouvelles fermes fonctionnant en AMAP.

    Le mouvement des AMAP invite à la dissémination positive de « l’esprit AMAP » dans tous les secteurs de l’économie sociale et solidaire et encourage la création d’autres partenariats locaux (artisanat, finance, culture, etc.).

    La démarche d’expérimentation et de créativité reste au coeur de la charte pour inscrire les AMAP dans un mouvement citoyen, vivant et transformateur.

    La présente charte doit être signée par chaque amapien-ne et paysan-ne en AMAP.

    1« AMAP » est un terme déposé à l’INPI.

    Pour plus d’info :

    Réseau AMAP Ile-de-France
    24 rue Beaubourg 75003 PARIS – NOUVEAU TEL >> 09 52 91 79 95 – contact@amap-idf.org