Le Houmous de betterave, pour écluser les surplus

Quand les fameux tubercules s’accumulent, rien de mieux que les broyer sans scrupules, et les tartiner à la spatule. En plus, c’est très beau, et ça intrigue le badaud. C’est facile, on cuit sa betterave, à l’eau ou au four, comme on le sent. Quand elle est molle, on la balance dans un robot, en compagnie de pois chiche (à quantité égale), d’une cuillère de pâte de sésame (qu’on trouve dans les biocoops), d’ail, de jus de citron et d’huile d’olive. Si je n’indique pas les quantités, ce n’est pas par snobisme mais par expérience: les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. Il faut donc goûter et regarder, et ajuster, tout seul comme un grand. A la fin on a une pâte à tartiner, plus ou moins citronnée, aillée, ou salée (ah oui parce qu’il faut aussi saler-poivrer, bien sûr), qu’on peut joliment présenter avec un filet d’huile d’olive et déguster sur du pain frais.

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